ceci est un blog (souvenir) a moi meme.... jen ferai un complet plus tard
voila......
jai ruiné mon existance
jai construit moi meme ma potance
mon habit est une carcasse noire
troué dechirer que jai laisser choire
prisoniere de mon corp
noirci meurtri sans espoir
jai recu mes livre! pour ceux qui en voudrais un.... a.marie.v@hotmail.com ne me demander pas en ami ecriver moi un message avant
je peint les toiles
de ma liberté ilusoire
je les ecrit sans voile
la mort sans toi nest que derisoire
jai hurler dans mon someille
pour que tu soit avec moi la veille
je suis lotage de ton corp
soumise a toi jattend la mort
a mon chevet seule je me repose
a tattendre mon amour jecrit cette prose
jaime lautomne et sa cruelle beauté
elle qui aime a faire les feuille tomber
qui aime a detruire la verte verdure
pour laisser place a lhiver rude et dure
meurt, meurt ho! été maudit
laisse place, a ce paysage plus joli
encré de larmes¸
mes yeux chagrins
implorent la lame
mais cest en vain
cauchemardant
mes yeux brisé
vides maintenant
mort asseché
lenfer enveloppe cette terre
de peine de tristesse et de misere
les larmes des anges se noye
dans le creux de leur coeur qui tiraille
misantrope lugubre et terne
est la taverne de ma haine
nocturne meme dans la lumiere
jai laissé choir toute la terre
une miette de rocher
si las et épuisee
jit depuis si longtemps
dans ce joli champ
il ne voit plus la bautee
de ce champ fortuné
car il y a 100000 ans
quil y decompose lentement
reduit en poussiere de sable
la vie pour lui nest plus qune fable
tragique mort prematurer
les ruine de mon corp, devaster
comme une tumeur jai meurtrit
eternellement bercer dans mon lit
deambulant peniblement a labatoire
mon ame chute tout comme mon corp
larbre est condamné
melancolique, enraciné
la pluie ne pleur que pour lui
larbre, imobile, sennui...
il franchi les saison
une apres lautre, sen vont.
larbre a espoir dun eclair
qui le jetterais contre terre
avec son pelage comme oreiller
larbre pourais enfin sommeiller
rue de la desolation
ville de labandon
pays de léchec
moi, l'infect planette
maison delabrer
chambre capitonnée
meuble sali
moi, catatonique lit
je me langour de mourrir
de laisser naitre mon dernier soupir
ma haine trop douloureuse
torture constante et affreuse
me rend si las de vivre
le doux parfum de la mort menivre
mes penssées sont dystrophiés
mes actes dellaissée
indicible atmosphere
nausif et mortifiere
las, perdu dans mon lit
meprisant tout forme de vie
et je jit inconsiente
dans cette atmosphere lourde et pesante
je suis une marguerite
dont les petales sont pourites
une obsure fleur dhiver
qui pour la vie est délétère
morne des couleurs
une roses noire sans aucune pudeur
infirme sans ses feuillles
je suis une creation en deuil
hideux corp en agonie
je vais me laisser pourrir dans mon lit
en guise de suicide
soit! que ma fin soit morbide
mon lit a la froideur de la mort
de la peur de langoisse et de lincofort
en etat d'affre sous mes draps
de tourment depouvante et de tracas
torture eternelle
désire charnelle
souffrance douloureuse
vie malheureuse
ami avec la peine
je voudrais que mon sang sorte de mes veines
mutilation mental
je voudrai avoir mal
sinistre existance
jimplore la potence
je méprise ma vie
mon cadavre s'ennui..
atroce sensation
turbulant poison
sans quietude
mon ame hurle
des cris profond
strident sans sons
je suis une chansson sans bruit
je suis un humain sans vie
étallé dans un joli boisé
ou personne ne pourais me trouver
je ferai sortir tout mon sang
et je le ferai joyeusement